Bois-d'Amont débute l'écriture de son histoire.
En décembre 2011, lors des travaux de transformation du local des archives communales, tous les anciens documents communaux antérieurs à 1970 ont été mis en dépôt aux Archives de l’Etat de Fribourg.
Ces documents sont librement consultables, aux horaires d’ouverture des Archives de l’Etat de Fribourg. Toutefois, certains documents sont protégés par un délai de 100 ans (données personnelles ou confidentielles). Dans ce dernier cas, c’est l’archiviste cantonal qui jugera de la possibilité de consulter les documents.
Association Arconciacum
L’association Arconciacum a pour but la mise en valeur du patrimoine archéologique et historique d’Arconciel, la préservation du site du bourg médiéval ainsi que la consolidation de sa tour occidentale.
Intéréssés à en savoir plus ? visitez leur site Internet !
Le bulletin de juin 2023 de Forêts-Sarine est consacré au château d’Arconciel : consultez l’article !
L'histoire d'un village de son origine à nos jours
Au temps des Hévètes et des Romains
Ependes était déjà habité à l’époque romaine.
Au cours des décennies suivant la bataille de Bibracte, en 58 avant Jésus-Christ, le pays tomba sous le contrôle des Romains, qui succédaient aux Helvètes. Ils y fondèrent des colonies et des camps, développèrent le commerce et répandirent progressivement le christianisme.
L’usage de la monnaie devint courant et de nombreuses routes furent construites, dont l’une aurait passé par Ependes et dans la région. On a notamment découvert à Ependes les traces d’un établissement romain sous et aux environs de l’église.
Plusieurs objets de l’époque romaine ont été retrouvés dans le village, dont une monnaie d’argent de l’an 79, des fusaïoles, de la céramique, des tuiles, etc.
Une sorcière à Ependes ?
Une étudiante en histoire, Juliana Almeida, a fait son travail de master sur les sorcières du canton de Fribourg. Une citoyenne d’Ependes, Clauda Piccand, a été jugée pour sorcellerie en 1638 à Fribourg.
La commune fête la fin d'année avec une immense étoile
Voir l’interview de la RTS du 20 décembre 2014